Chapitre 3: Le nouveau monde
De l'autre côté du cercle violet, il y avait un monde différent de celui que je connaissais. Nous étions dans un champs de plantes qui m'étais inconnue. Dans la jardin de mon père, je connaissais toutes les plantes qu'il y a planté, leur nom scientifique et les noms que, nous les Hommes, nous leurs avons donnés. Il ne m'avait lâché la main et me tira à travers champs par mon avant bras gauche. Nous avons déboucher sur une route rocailleuse. Nous avons marché vers une forêt. Nous nous y sommes enfoncés rapidement. Il se stoppa brusquement. Je me suis cognée contre lui. Il sortit de sa poche une baguette et commença à tracer un cercle sur le sol. Je suis tombée à terre sans comprendre pourquoi. Il resta concentrer sur ce qu'il dessinait. Je n'ai pas osé le déranger. Lorsqu'il eu finit, il prit mes gambes et mon dos pour me mettre au centre du cercle. Je me suis laissée faire. Il sortit du cercle et commença à parler dans un autre langage. Un rose clair illumina le cercle terreux et il agita ses bras. La couleur disparue. Il est revenue vers moi.
- Tu peux marcher tranquillement maintenant!
Je l'ai regardé bizarrement. Je me suis levée doucement et il m'expliqua que la gravité était différente que celle de la Terre. Il me dit aussi que le nom de se monde était Outralium. J'ai écouter attentivement se qu'il me disait. J'apprends des choses du monde d'origine de ma mère. Il me dis que je suis la princesse du royaume de Courendolle. En entendant le nom, j'ai pouffé*. Il me toisa d'un air amuser. Il me montra une photo de ma mère. Derrière elle un magnifique château. Il me dit 'd'imaginer le château dans ma tête et d'avoir la volonté de m'y rendre. J'ai suivi ses conseils à la lettre. Il me prit la main droite et nous disparurent dans une lumière fuchsia. Nous sommes apparus devant un personnage qui me surpris au plus au point. J'ai resserré ma main. Il me présenta au vielle homme. Je le salua de mon plus grand et chaleureux sourire. Il me fit un sourire des plus étrange. J'ai dégluti et resserré encore plus ma main. Albrotal poussa un petit cris. Je desserra ma main. Il salua à son tour le vielle homme. Nous sommes partis par une des nombreuses portes en buis. Nous avons tourné dans tous les sens. Je me suis arrêtée net. Je lui dit que je connaissais une manière pour sortir du labyrinthe.
- Il faut utiliser sa main droite comme ça! J'ai posé ma main sur le buis et ai continué. Ça nous évitera de nous perdre pour de bon!
Il a acquiescé et j'ai ouvert la marche, la main posé sur le buis. Nous avons trouvés la sortie plus rapidement que se que je ne le pensais. Un garde nous a interpellé et nous demanda qui nous étions. J'ai laissé Albrotal s'en charger. Le garde me regarda de haut en bas. Et demanda une preuve que j'étais bien la descendance des Cygnes D'argent. Je me concentra sur l'image de ma mère que m'avait montré Albrotal. Je voulais la voir en tant que statue de glace. Elle apparue dans une lumière bleutée. Le garde resta bouche-bée et nous laissa passé. Je refusa de suivre Albrotal, je choisis à la place de contempler la statue que j'avais faite de ma mère. Il me dit qu'il allait la téléporter dans la chambre. Je l'ai donc suivi avec un arrière goût d'amertume. Lorsque nous fument hors de porter du garde, il m'embrassa. Je l'ai repoussé violemment. Je lui ai donné une gifle et me suis enfuie juste après. J'ai croisé un garde qui arriva au même moment. Je le supplia de m'aider car Albrotal n'était plus lui-même. Il se mit à rire. Albrotal arriva au même moment. Une main toucha mon fessier. Je me suis retournée vers lui et je l'ai regardé l'ai se dire: '' Recommence et je te tue.'' Il me prit mon avant bras gauche, me tira vers lui et me montra qu'il s'agissait du garde. Je suis entrée dans une rage folle. Le casque du soldat vola comme par magie, et ma main droite vint toucher son visage si violemment qu'il rejoignit le sol. Albrotal me mis sur l'une de ses épaules comme un sac de pomme de terre. Je me suis débattue pour qu'il me pose à terre et me laisse tranquille. Il parti en laissant le garde, surpris, seule à l'extérieur du bâtiment le plus proche. Lorsqu'il me jeta sur une lit confortable, il se mit à me parler de sa double personnalité. Il me dit que celui qui est avec moi en se moment est celui que tout le monde apprécie et que l'autre est détesté. Celui qui m'a embrasser devait être celui que tout le monde déteste. Il s'assit dos à moi sur le lit. Son dos disait tout, il était anxieux et triste. Je me suis rapprochée de lui pris dans mes bras. Il prit mes mains qui entouraient son torse. Il se tourna et me regarda tendrement et fixement. Je lui dit que je voulais me reposer. Il se remit sur ses deux jambes, parti s'asseoir sur l'une des chaises de la pièce et regarda dehors. Je me suis mise sous l'une des couvertures, ferma mes yeux et un rêve commença. Je me voyais le jour de mon mariage, avançant sur un long tapis blanc. Je n'était pas confiante, je marchais d'une façon étrange, comme hypnotiser, vers un homme dont je ne voyais pas son visage. Mes yeux se rouvrir brusquement au moment où un homme allait m'embrasser. Il ouvrit les yeux et recula. J'ai appelé Albrotal qui est arrivé en un rien de temps.


Et là, le château où Rubis vivra désormais. Mais libre à vous d'imaginer le château de votre choix.
Pouffé: Vient du verbe pouffer, il veut dire se retenir de rire.